lundi 27 octobre 2014

LES D.D. FLINGUEURS

Si vous aimez la politique , ses bisbilles, ses guéguerres et ses turpitudes je vous conseille de lire de temps en temps la prose du journaliste Marc Prévost sur le blog du « Petit Théâtre de Martine Aubry « hébergé par Daily Nord. Aujourd'hui notre maire y est bien assaisonné .Il y est qualifié de « sarko-copéïste frénétique en mal de second souffle » ou encore d' »opportuniste jamais à court d'ambition personnelle ». Le journaliste analyse aussi le duel Darmanin-Daubresse.Voici un extrait de son texte :
« Officiellement, il n’existe pas de duel Darmanin/Daubresse. Les articles de Dailynord puis du Nouvel Obs avaient révélé l’antagonisme entre les deux hommes soucieux d’affirmer leur emprise sur la droite régionale. Darmanin avait le premier préempté le projet régional en applaudissant au projet de fusion entre les deux régions en compagnie de jeunes maires et d’élus incarnant le renouveau. Là encore Sarkozy devra arbitrer. Certainement après l’élection de l’UMP fin novembre. En attendant, et après recadrage par le patron lui-même, on serre les rangs. En tout cas, Daubresse, éclaboussé dans le scandale des notes de frais de l’UMP, très mal réélu à Lambersart, et qui fait de la politique depuis les années 70, n’a plus que des mots doux pour son jeune collègue de Tourcoing qui lui reproche d’avoir perdu l’élection imperdable en avril dernier, la conquête de la communauté urbaine de Lille-Métropole…alors que la droite avait gagné les municipales. »
Ambiance, ambiance...

lundi 20 octobre 2014

DEAR DAISY

carrelage-jumelage.JPGQuel symbole ! Jour pour jour, 22 ans après la signature du jumelage entre Lambersart et Southborough, elle s'est éteinte : Mrs DAISY FLETCHER, ancien maire de Southborough.
On la savait malade depuis quelques années et quand nous avons fêté les 20 ans d'amitié entre nos deux communes, elle était hospitalisée. Seuls quelques uns parmi ses amis lambersartois et M et Me Dupont ont pu lui porter la carte de sympathie que chacun avait signée. Car on lui doit beaucoup .
Certains se souviennent peut-être que le 18 octobre 1992 , pour la cérémonie officielle du jumelage elle est venue à Lambersart assise sur une chaise roulante . Elle s'était cassée un membre .
Petite, toujours coiffée d'un chignon, dynamique et engagée surtout socialement au profit des personnes âgées ou handicapées, Daisy était une figure, un caractère aussi !
Merci Daisy . Reposez en paix .

vendredi 17 octobre 2014

CONSEILS A CEUX QUI VONT VIVRE LEUR PREMIERE FOIS

banquet-invit.JPG Ah la première fois ! C'est inoubliable, n'est-ce-pas ?Attention ,les lignes qui suivent ne s'adressent pas à ceux qui ont déjà connu leur première fois, leur premier orgasme. Non, pas l'orgasme auquel vous pensez . Je parle ici de l'orgasme du senior. C'est un orgasme collectif qui , à Lambersart,se vit deux fois par an encouragé par la municipalité. On l'appelle le banquet des seniors car la sexualité y est remplacée par la convivialité. Le prochain aura lieu en décembre mais déjà les invitations ont été lancées alors que celles du 11 novembre ne sont pas encore distribuées. Les militaires seraient-ils en retard d'une guerre ?
Voici donc quelques conseils pour les novices :
Tout d'abord l'anticipation: Le banquet se prépare . Si tu ne veux pas te retrouver au milieu de Lambersartois qui te sont inconnus avec – si tu es un peu sauvage – ton conjoint comme seul interlocuteur, il te faut trouver des partenaires. Parle autour de toi de ton désir de participer au banquet. Essaie de t'inclure dans une bande de ton quartier ou colle toi à un groupe de mordus d'une association.C'est là que tu as le plus de chances de trouver des marrants.
Sois à la porte au moins une demi-heure à l'avance. Malgré cette précaution tu verras que tu ne seras pas le premier. La porte a deux battants. Tiens toi au milieu sinon quand on viendra ouvrir tu devras reculer et on te passera devant. N'hésite pas à tenir la poignée pour faire barrage.
Ne compte pas trop sur quelqu'un pour te garder une place à table. Pour entrer entraîne toi plutôt à donner un coup de coude ici ou là, à tirer une manche et à repousser derrière toi. Une fois à l'intérieur ne t'installe pas aux places où les chaises sont relevées. Des petits filous ont des complices qui « réservent ». Vouloir t'asseoir là t'attirerait quelques bisbilles.
Une fois installé attends qu'on te serve le Kir et apprête toi jusqu'à près de 14H à écouter deux homélies. Celle d'une adjointe qui va égrener tous les services et animations qui devraient te combler de bonheur et celle du maire qui étrille le gouvernement s'il est de gauche et le magnifie s'il est de droite. Profites en ,tu as juste le temps de grignoter ta boule de pain sans croûte , dentiers obligent.
Attaque ensuite le menu : entrée, rondelle de viande, petits légumes, le tout bien saucé et bien tendre , re-dentiers obligent. J'espère pour toi que tu pourras entre deux bouchées rire de la bonne humeur d'un convive rigolard qui souffrant d'un début de Parkinson déclare que maintenant ce sera bien pratique pour lui de faire la mayonnaise. Et si malgré tes efforts stratégiques tu te trouves placé à côté d'une chieuse, bénis le ciel qui t'as rendu à moitié sourd !
Enfin ,au cours du repas tu seras pris dans le mouvement de transhumance vers les toilettes.Tu retrouveras l'ambiance de la petite école. Tous dans la même pièce ! Mais pas question de se mêler ! Les vieilles petites filles garderont comme avant la porte pour les copines et les vieux petits garçons urineront encore à côté et oublieront de tirer la chasse d'eau. Malgré tout c'est quand même là le lieu où la mixité sociale est la mieux vécue.
Bien rassasié, le cœur joyeux après éventuellement quelques pas de danse sur l'air du « temps des cerises »tu pourras déjà rêver au banquet du PRINTEMPS 2015. La municipalité t'y invite . Lis bien la lettre d'invitation ci contre.

mercredi 15 octobre 2014

DOLCY 2


10268628_646535125417401_2994333980891433657_n.jpgMon premier voyage en avion a été mouvementé , autant psychologiquement que physiquement . Aujourd'hui, bien des années après, je me souviens bien de mes peurs et surtout de l'inconfort qui m'a été imposé.L'avion était un Breguet 14, un « coucou » comme on dit maintenant.
De ma caisse heureusement percée de quelques trous qui me permettaient de respirer, je ne voyais rien d'autre que la toile de jute de sacs postaux. J'éprouvais un sentiment trouble . J'étais à la fois désireux de découvrir des horizons nouveaux et peiné de me séparer de mon Petit Prince . Et lui, comment vivait-il cette séparation ? Nous avions partagé tant d'émotions et de réflexions !
Je n'ai pas pu m'abandonner longtemps à mon état d'âme.
Le lancement du moteur,le cahotement de l'appareil sur le sable, l'accélération de plus en plus vive et le bruit infernal dans la carlingue m'ont vite ramené à la réalité. Ajoutez à cela , pendant la montée, le glissement de ma caisse et l'arrêt de la poussée du moteur pendant quelques instants qui m'ont paru une éternité, m'ont fait passer de l'état d'agneau guilleret à celui de bête prostrée.
Certaines images, certaines bribes de phrases prononcées la veille par Antoine me revenaient mais n'arrivaient pas à se fixer dans ma tête ... « L'inexplicable amour du vol...le spectacle éblouissant, fascinant... » Mais où allait-il chercher tout cela ? Pour dire de telles extravagances il ne  devait rien connaître de  la vie du désert rythmée par le pas des chameaux .
Oserait-il comparer le vrombissement insupportable du moteur au silence des grandes dunes ou même au blatèrement des dromadaires ? Il me décevait Antoine .
Pendant la cinquantaine d'heures que dura le vol ,gâché aussi par quelques escales marocaines qui mettaient mes oreilles au supplice, j'eus tout le temps de m'interroger sur cette folie qu'ont les hommes de vouloir aller vite, plus vite, encore plus vite .
Aller lentement empêche-t-il d'arriver là où l'on veut aller ?
J'en étais là de mes réflexions quand après avoir assez mal supporté quelques turbulences qui m'ont donné le mal de l'air, le Bréguet de la Compagnie Aéropostale s'est posé .
Un temps de chien, insupportable pour un mouton, froid, pluie et tempête ,obligea Antoine à entrer tout de suite dans un immense hangar.......                                              à suivre

UkraÏna

2014-10-12-Concert-LKU--25-.JPGPasser par l'Ukraine pour apprendre l'Histoire de France et comprendre l'origine de la dénomination d'une avenue de lambersart, voilà qui n'est pas banal. C'est pourtant ce que j'ai vécu hier soir au concert organisé par l'association Lambersart-Kaniv-Ukraine avec le concours de Portail de l'Ukraine .
Une soirée marquante autant par la valeur des musiciens et interprètes que par l'émotion partagée.
Je ne veux pas me qualifier indûment de critique artistique mais il est indéniable que les organisateurs n'ont pas menti : quelle qualité !
Bien sûr Stefan Stalanowski ,premier violon de l'Orchestre National de Lille ,a été brillant . Comme d'habitude ,le temps d'une interprétation , il s'est isolé de la salle . Il n'a plus vécu qu 'avec son violon . Même la partition lui était devenue inutile! Il joue les yeux fermés ou mi-clos à côté de son pupitre., les mouvements du corps marquant les rythmes musicaux. Je ne sais pas si Bogdan Nesterenko l'accordéoniste l'accompagne souvent mais quelle harmonie entre les deux hommes !                               Les autres artistes ont été tout aussi émouvants jusqu'au chant de l'hymne national ukrainien et la « standing ovation » que la salle leur a offerte.
Et surprise , c'est Varinka Valenzuela une colombienne qui m'a appris qu' une  des chansons qu'elle allait interpréter  avait été écrite en hommage à ...Paul Doumer , président de la République qui a perdu 4 fils à la guerre 1914-1918. L'avenue Paul Doumer est à deux pas de chez moi!
J'ai donc lu sur internet la biographie de cet homme d'origine très modeste , exemple d'une ascension sociale remarquable et malheureusement assassiné . Il me reste à lire « le livre de mes fils » qu'il a écrit en mémoire de ses enfants .
Une belle soirée musicale et un enrichissement culturel ce mardi soir.

vendredi 10 octobre 2014

DOLCY

pas_de10-copie-1.png
Vous avez peut-être lu la semaine dernière dans la Voix du Nord ( 5 octobre) cette annonce pour le moins curieuse « Un mouton saute du 5e étage d'un immeuble à Lille-Sud...L'animal a été ramassé sur le trottoir, blessé mais conscient... »
Ce mouton, c'était moi !
Vous ne me croirez sans doute pas si je vous dis que je viens d'Afrique et que ma vie est une succession d'aventures.
Pourtant vous avez déjà entendu parler de moi. Vous souvenez vous de cet accident d'un aviateur qui a dû atterrir en plein désert du Sahara parce qu'une pièce de son moteur s'était cassée? Son histoire a fait le tour du monde. Il faisait régulièrement la ligne Dakar-Toulouse , transportant du courrier pour la compagnie aérienne « l'Aéropostale » .
Cette fois là , au retour vers la France il avait dû atterrir d'urgence à mille milles de toute terre habitée mais pas très loin du lieu mystérieux où je me trouvais avec mon ami Petit Prince. Nous étions tous les deux très jeunes , pleins de vivacité et même un peu polissons. Il ne nous a pas fallu longtemps pour imaginer une espièglerie.
Aussi ,quand Antoine, c'est ainsi qu'il nous a demandé de l'appeler, s'est réveillé après une nuit à la belle étoile, mon ami, celui que j'appelle mon Petit Prince était planté devant lui et lui demandait de dessiner un mouton.
Cocasse n'est-ce-pas une telle demande en plein désert ! Antoine essaya à plusieurs reprises sans jamais réussir. Finalement ,découragé ou excédé il dessina une caisse qui se trouvait à proximité dans laquelle ,comme convenu avec mon petit ami., je m'étais caché pendant le sommeil de l'aviateur .
-« Le mouton que tu veux est dans la caisse ! »dit Antoine énervé .
-
« C'est tout à fait comme ça que je le voulais » répondit mon Petit Prince .
Nous laissâmes alors Antoine à ses réparations mécaniques. Quand le moteur fut réparé et qu'Antoine s'apprêtait à repartir, mon Petit Prince glissa subrepticement la caisse dans la carlingue.Avides l'un et l'autre de connaître autre chose que le monde du désert, nous avions en effet décidé en secret que je partirais à la découverte de pays étrangers et que dès que possible , quand je l'appellerais,mon Petit Prince me rejoindrait !
C'était donc une occasion unique.C'était peut-être aussi la première fois au monde qu'un agneau voyageait clandestinement dans un avion de l'Aéropostale !
Mon aventure commençait... (à suivre)
PS La photo que je vous montre est celle de ma première carte d'identité . J'étais très jeune,c'est vrai.

dimanche 5 octobre 2014

FIN DE SEMAINE

photo-pacot-horreur-copie-1.JPGBen alors, Jean Louis, tu nous snobes?
Pour faire plaisir au maire dont on connaît les tendances sarko-borloo, le conseil municipal avait décidé de nommer « parc Jean Louis Borloo »le nouvel espace vert du Pacot.-Vandracq.
Hier on inaugurait le lieu. Chacun s'attendait à te voir ainsi que le préfet et le nouveau ministre de la jeunesse.,les présidents des conseils général et régional...Ils étaient 10 sur le carton d'invitation .
Personne n'est venu ,sauf le sympathique président de LMCU et quelques rares habitants du quartier . Pourquoi ? On nous boude ? Le magnétisme de notre maire faiblit-il ? Pourtant nous avons sur place une école de magnétisme et même un institut d'hypnose ! La rumeur , mais ce n'est qu'une rumeur ,dit même que cet institut pourrait nous quitter . Ceci expliquerait-il cela ?
En tout cas, il faisait beau et ton parc Jean Louis a de la gueule. Je n'en dirai pas autant des constructions sur l'ex place de l'Europe.(photo)
Le matin même un Lambersartois avait été interviewé par France -info : Eric Darques, le « croisé » de la lutte anti-corruption. Comme toujours il a « cartonné » et dénoncé les marchés publics où certains élus réclament 10% du montant pour leur parti...ou pour eux-mêmes ?
Contraste le soir : l'association G. Delfosse proposait une pièce de théâtre écrite par un Lambersartois au profit des enfants malheureux. Je n'ai pas pu y aller mais j'espère qu'il y a eu du monde.
Ce matin, remise des récompenses aux lauréats des maisons fleuries. J'y ai rencontré beaucoup de gens qui aiment leur ville et qui soignent leur environnement . Ces gens agrémentent notre ville et donc notre vie. A signaler quand même cette petite vacherie d'une élue qui ,au moment de la photo de groupe ,conseille à quelqu'un de ne pas se placer près du groupe « Lambersart le cœur en plus ! » puisque ce groupe n'apparaîtra pas sur la photo. On le savait ! Minable, madame !

vendredi 3 octobre 2014

ACCROCHE TOI GERARD !

gerard-tancre-aux-foulees.jpgOn a failli déplorer un mort dimanche dernier aux Foulées Lambersartoises.Ça devait être une belle fête sportive. Plus de 1500 coureurs, des jeunes et des vieux, des Africains, des Belges et une Hollandaise...quelques élus aussi mais proches de la congestion.
L'arrivée se faisait au stade Guy Lefort sous un magnifique soleil. Dans la foule des spectateurs un homme qui n'était pas venu à Lambersart depuis un certain temps a reconnu Josette Tancré, l'épouse de son ami. Gérard .Tout heureux de cette rencontre fortuite, il s'avançait vers elle sourire aux lèvres jusqu'à ce qu'il lise sur une plaque près de la piste « Piste Gérard Tancré » .
Imaginant tout de suite la disparition tragique de son ami à qui la municipalité avait voulu rendre un hommage posthume en baptisant la piste de son nom , notre homme se trouva très gêné.Il apprenait là une bien triste nouvelle et , prêt à prendre la mine de circonstance, il s'avança vers Josette ,la supposée veuve qui ne semblait pas le moins du monde affectée par le drame .

Et pour cause ! Notre Gérard batifolait, plein de santé, blouson blanc façon équipe de France FFT,à côté de James Kibet le vainqueur ougandais du semi-marathon .
Allez Gérard, continue à t'accrocher aux branches !

mercredi 1 octobre 2014

CHABAL SE REBIFFE

sans-titrrugby.png Me voilà classé par J.C. Gatineau de La Voix du Nord dans la catégorie des rugbymen ! Une espèce de Chabal lambersartois*, prêt à boire une bonne bière avec son adversaire dans la troisième mi-temps.
Est-ce bien l'image que j'ai donnée au dernier conseil municipal ? J'espère que non . Le conseil municipal ne se résume ni à un combat -fût-il de coqs – ni à une conversation de salon .A « Lambersart le cœur en plus ! » on prépare la réunion en commun et à tour de rôle chaque élu exprime la position du groupe .
Cette fois ci, c'est Bernard Coffyn , -à qui j'ai emprunté la formule devenue célèbre « faut pas nous prendre pour des lapins de six semaines !» qui a allumé le feu en annonçant qu'on refusait d'approuver un compte rendu non conforme et demandé des explications sur des marchés publics de boissons alcoolisées. Maire surpris.
Olivier Fauchille a demandé lui, entre autres questions, si le maire était décidé à rembourser à la ville les frais de justice engagés avec l'accord du conseil municipal pour un dépôt de plainte contre Me Dupont et N.Bouche ,anciens conseillers municipaux, plainte qu'il a opportunément retirée de son propre chef. Maire contrarié.
Corinne Ferrier a ironisé sur les couacs de la rentrée scolaire en dénonçant l'estomac vide des bambins qui se lèvent à 7H et doivent attendre 13H pour déjeuner à la cantine ! C. Jilcot illusionnée.
Marie Françoise Delesalle a questionné sur « le lieu de prière » demandé par les musulmans et proposé aussi que le Colysée puisse être utilisé par les Lambersartois. Maire embarrassé.
Moi-même j'ai critiqué les volte-face du maire qui ,dans son programme électoral annonçait « un service de patrouilles nocturnes de la police municipale », qu'il a transformé en juin en « patrouille nocturne municipale »(sans policiers ?) pour revenir à des patrouilles« du service de prévention et de police municipale »..Je lui ai dit aussi qu'il ne suffisait pas de critiquer l'échec de la politique nationale de l'emploi et que lui même, localement, devait s'investir en particulier dans l'apprentissage. Maire emberlificoté sur la sécurité.
Voyez, c'est donc une image d'équipe que nous avons donnée. Conforme à ce que j'avais déclaré au journaliste il y a quelques mois en lui disant « que nous serions avant tout constructifs pour les Lambersartois ». Ce qui passe bien sûr par des critiques et ne nous empêche pas parfois de dire « merci » sans pour cela trinquer .
Ni Chabal, ni cordial, tout simplement conseiller municipal.
*Chabal : rugbyman international français.