Marc Philippe Daubresse n'a pas tiré la couverture à lui.Dans son allocution il nous a épargné la litanie des difficultés, des contraintes, des coûts de cette belle opération d'urbanisme que les habitants sceptiques et même hostiles au départ, apprécient aujourd'hui. Son discours n'avait qu'un objectif : mettre « son ami » sur le piedestal. Jean Louis Borloo était à l'unisson et les deux « frères » (c'est ainsi que JLB a qualifié notre maire) ont évoqué ce qui leur reste gravé comme les années les plus riches de leurs vies ministérielles .La photo ci-contre montre que l'un et l'autre revivaient intérieurement et avec émotion les nuits où ils échafaudaient leurs projets .Les invités à la cérémonie ont donc écouté les hommages publics de l'un à l'autre et ressenti les hommages muets de l'un à l'autre .
Plus tard, quand la rénovation du quartier sera terminée les deux amis planteront un baobab à Lambersart. BAOBAB , comme Boîte A Outils de la Bande à Borloo, le nom de code de leurs anciens programmes . Il va falloir surveiller la croissance de cet arbre majestueux, l'arbre à palabres comme on l'appelle au Sénégal, plus habitué au climat africain qu'à nos jours de pluie.
Car l'arbre de l'amitié nécessite des soins . Pour les ministres comme pour chacun .
Car l'arbre de l'amitié nécessite des soins . Pour les ministres comme pour chacun .
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